Le mot « rave » commence à être associé à la musique électronique vers la fin des années 1980 en Angleterre. La musique techno commence à être appréciée par les jeunes mais une loi oblige tous les clubs à fermer aux alentours de 2h du matin. Les fêtes clandestines émergent alors, dans des hangars, des entrepôts abandonnés ou encore des usines en ruine. Des centaines de jeunes entassés devant des caissons qui envoient du son : c’est l’apparition du mouvement « Underground ».

 

 

En Angleterre c’est l’acid house qui prône durant ces « raves party ». En revanche dans les années 1990 le mouvement underground arrive en Allemagne avec un style de musique beaucoup plus violent : la techno hardcore et la fameuse Gabber.

 

Le côté illégal de ces fêtes donne alors une mauvaise image de celles-ci auprès de l’opinion public. Relayées dans les médias de façon obscure, les « raves » ne sont pas acceptés par tout le monde. En France elles se démocratisent durant les années 2000. Mais on y retrouve des populations de plus en jeunes, et surtout de plus en plus de dealers. La répression progresse alors. Lors de ces « rave » on croise souvent la police, les interdictions d’organiser ces teufs se multiplient, les saisies de matériels progressent. Des temps durs pour tous les « ravers » et surtout pour les organisateurs.

 

 

Mais le sentiment de liberté et l’amour de la musique électronique est plus fort que tout, les teufeurs ne se soumettront jamais à l’autorité et continueront leurs fêtes libres dans les champs, les hangars, les montagnes… Aujourd’hui toujours présent le mouvement de la «rave» n’a pas encore dit son dernier mot.

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"Un moment où tu oublies qui tu es, où tu peux vraiment te lâcher !"

 

Le mouvement aujourd'hui appelé "Rave On" n'a pas finit de nous faire vibrer !